De la détermination, de l’implication, du dévouement et surtout « think outside the box » en recherche constante de solution, c’est ce qui m’a permis de me rendre où je suis aujourd’hui et de continuer encore plus loin. En tant qu’enseignante au secondaire, je m’implique dans tous les projets sportifs dont il m’est possible. J’essaie d’être un modèle bien sûr, mais aussi de construire un lien significatif avec les jeunes qui leur permettra d’augmenter leurs connaissances et d’acquérir des capacités afin qu’ils soient en mesure de poursuivre leur rêve et leur passion; c’est quelque chose qui alimente cette petite flamme intérieure en moi.

Pour toutes ces raisons, je crois être un ajout intéressant à cette équipe solide et motivée, dans le but non seulement de faire avancer le sport en Montérégie, mais aussi d’explorer et d’exploiter de nouvelles avenues impliquant directement les jeunes avec une approche créative, confiante, connectée et collaborative.

À go on y va…. GO!

Myriam Da Silva Rondeau

Comme vous le savez, la Montérégie est en zone rouge, aucune activité sportive et de loisir organisée ne peut avoir lieu. Les cours de groupe et la pratique encadrée d’un sport ou d’une activité physique sont donc interdits. Seules les activités individuelles ou en duo (dans le respect de la distanciation requise) et les entraînements sous forme individuelle sont permis. Le port du couvre-visage n’est alors pas obligatoire pendant l’effort physique. Toutes les compétitions sont annulées tant au niveau scolaire, qu'associatif et privé pour les sports collectifs et individuels. De plus, les installations sportives et récréatives intérieures et extérieures peuvent demeurer ouvertes pour permettre la pratique libre, mais l’achalandage et l’accès aux vestiaires, mis à part les vestiaires des piscines, ne sont pas permis, à l’exception des toilettes. Les salles et les centres de conditionnement physique seront, quant à eux, fermés.

Nous essayons depuis quelques temps et dans les mois qui suivront, de vous apporter le plus de réconfort possible. Tous ceux et celles qui ont besoin de notre aide, s.v.p. communiquer avec nous à la ligne info@excellencecheznous.com et l’aide prendra forme rapidement.

Pierre-Mathieu Dubois - Mot du kinésiologue

Je sais très bien que, même lorsque le sport peut être pratiqué normalement, le mois de novembre est difficile pour la motivation à l'entraînement. Ce l'est davantage, si je ne peux pas pratiquer le sport que j'aime. Je vous propose donc quelques pistes de solution que vous pouvez utiliser pour vous ou vos athlètes.

- Raccourcir vos entraînements en augmentant l'intensité : Si vous avez été assidus avec vos entraînements cet automne, il est possible d'augmenter l'intensité de vos entraînements en maintenant un volume similaire (nombre de répétitions), mais en écourtant les temps de repos. Il existe plusieurs méthodes d'entraînement qui vous permettraient de le faire, parlez-en à votre préparateur physique ou contactez ESM. Ils pourront vous fournir les coordonnées d'un préparateur physique reconnu près de chez vous

- Fixez-vous de nouveaux objectifs : La motivation est directement liée à la précision de vos objectifs. Normalement, comme vous compétitionnez, les objectifs sont plus facilement mesurables. En ayant repoussé ces compétitions, il devient plus difficile d'évaluer votre progression physique. Essayez de vous fixer un objectif directement en lien avec votre entraînement (ex: compléter 30 push-ups sans s'arrêter) et de le rendre assez réaliste pour qu'il soit atteignable relativement rapidement. La motivation agit en boule de neige; il vaut mieux atteindre de petits objectifs régulièrement que d'en fixer un grand qui est trop loin pour me garder motivé (c'est ce qui arrive avec le report des compétitions).

- Privilégiez la fréquence au-delà de la durée : Si votre entraînement est trop long pour vous garder motivé et qu'il est impossible de le raccourcir en réduisant les repos, faites-le sur plus d'une journée. Il vaut mieux le segmenter et le compléter, que de ne pas le faire parce qu'il nous paraît un peu trop long.

Je sais que ces suggestions peuvent parfois nous faire sentir « moins bon » et affecter un peu notre estime de nous-même, mais gardez en tête que ce que nous vivons est exceptionnel et qu'il est normal que notre façon d'y réagir ne soit pas toute la même et, surtout pas comparable à « l'habituel ». Je vous laisse sur une citation dont j'ai oublié l'auteur, mais qui m'apparaît importante en ces temps plus compliqués:

« Donne toujours ton maximum, mais accepte que ton maximum puisse varier si tu es fatigué, malade ou si d'autres éléments viennent perturber ton état d'esprit » (Traduction libre).

Marie-Hélène Bourbonnais - Mot de la nutritionniste

Je visite souvent des équipes sportives pour des conférences ou des ateliers. Malgré l’intérêt des jeunes, il n’est pas rare qu’ils aient de la difficulté à appliquer les recommandations en nutrition du sport.

Savez-vous quelles sont les principales barrières qui nous empêchent de cuisiner davantage, de planifier, et donc de s’assurer de manger les aliments appropriés au bon moment?

Le manque de temps et le manque d’énergie.

Deux ressources qui sont parfois limitées chez nos jeunes qui naviguent entre l’école, les entraînements, les compétitions, les activités parascolaires et sociales, etc… Le manque d’énergie, autant mentale que physique, parce qu’on s’est donné lors d’un gros entraînement, en plus de faire des devoirs en revenant de l’école, nous amènent à repousser le moment de préparer notre boîte à lunch pour le lendemain, ou de cuisiner cette nouvelle recette de galettes maison.

Saisissons cette occasion où les activités sociales et physiques sont réduites pour se consacrer à des défis nutrition!

- Party de cuisine! : Pas d’entraînement en groupes? Des défis recettes de groupe peuvent être organisés virtuellement. Partagez une recette ainsi que les ingrédients et le matériel nécessaire à vos athlètes à l’avance, puis connectez-vous et cuisinez tous ensemble!

- Utilisez les médias sociaux : Pas de compétitions? Vous pouvez lancer un défi à vos athlètes (par exemple cuisiner 2 recettes par semaine ou réaliser une recette de smoothies ou de barres maison), puis demandez-leur de publier une photo du résultat final. Vous pouvez leur demander d’y apposer les # appropriés (#votreéquipe #smoothie, etc…), et instaurer un système de pointage si vous le désirez. Vous verrez, l’effet d’entraînement sera monstre!

- Repas virtuel : La situation que nous vivons présentement nous a poussés à réduire nos activités sociales. Si le repas en famille est positivement associé à une meilleure estime de soi et au succès académique chez les jeunes, et inversement associé aux développements de troubles alimentaires et aux symptômes dépressifs, pourquoi ne pas organiser un repas d’équipe! Une occasion créative de poursuivre le « teambuilding » en ce temps de pandémie.

De belles initiatives à débuter dès maintenant, et peut-être à intégrer au sein de nos habitudes d’athlètes!

Crédit photo : unsplash.com/dosejuice

Pour les athlètes identifiés RELÈVE ou ÉLITE
programme complet
50 places disponibles de plus, faites vite!

Excellence Sportive Montérégie a le plaisir de vous annoncer que les inscriptions pour Programme Service de soutien intégré – 2020-2021 est bien lancé.

Le SSI 2020-2021 vous permet, pour 100 $, de bénéficier de plus de 1 000 $ en service de préparation physique et/ou mentale et/ou nutrition sportive pouvant être bénéfique pour votre développement vers l’excellence.

Voici l'intégralité des options disponibles :

A. 3 services : 3 rencontres avec préparateur mental + 3 rencontres avec nutritionniste + 3 rencontres avec préparateur physique;

B. 2 services : 4 rencontres avec préparateur mental + 4 rencontres avec nutritionniste;

C. 2 services : 4 rencontres avec préparateur mental + 4 rencontres avec préparateur physique;

D. 2 services : 4 rencontres avec nutritionniste + 4 rencontres avec préparateur physique;

E. 1 service : 7 rencontres avec préparateur mental;

F. 1 service : 8 rencontres avec nutritionniste;

G. 1 service : 9 rencontres avec préparateur physique.

INSCRIPTION EN LIGNE

»Nathan Brunet

J’ai 17 ans et je viens d’entrer au Cégep en sciences de la santé avec le programme Sport-Études. Je fais de l’escrime depuis plus de 8 ans. L’an dernier, je me suis qualifié pour les Championnats panaméricains où les autres épéistes et moi avons terminé premiers. J’ai également participé à plusieurs Coupes du monde et j’ai pour objectif de me qualifier pour les prochains championnats du monde.

Retour à la routine par Nathan Brunet
En ce début d’année scolaire spécial, encore plus pour ceux comme moi qui entrent pour la première fois au Cégep, il est normal de se sentir surmené ou dépassé. De plus, les entraînements ont repris de plus belle et je n’ai presque plus de temps libres. Le plus dur est bien évidemment de travailler sans buts précis; je m’entraîne, mais je n’ai pas de compétitions à venir. J’étudie, mais je n’ai pas de collègues de classe avec qui comparer mes avancements. La seule chose qui reste donc de motivante, est de penser au futur. Comme le dit Usain Bolt, « La compétition, c’est la partie la plus facile. Tout le travail se fait dans les coulisses. » Il faut donc rester motivé malgré la solitude et la distanciation physique, parce que lorsque les compétitions reprendront, je serai prêt, car je me serai entraîné.

Deux québécoises atteignent le niveau NCAA division 1 en volleyball de plage.

Audrey Gauthier (Boucherville) et Kléa Sirois (Longueuil) sont les deux premières joueuses québécoises de volleyball de plage à signer un contrat en division 1 avec la NCAA (National Collegiate Athletic Association). Elles représenteront la prestigieuse équipe des Hatters de l’Université Stetson en Floride en août 2021! Longueuil, le 27 novembre 2020 - Depuis quelques années Audrey et Kléa suscitent l’intérêt des entraîneurs américains qui suivent le duo en raison de leurs performances exceptionnelles. Audrey et Kléa font partie de l’équipe du Québec et s’entraînent au Centre d’excellence de volleyball de plage à Sherbrooke avec Vincent Larivée (entraîneur olympien en volleyball de plage : Athènes 2004 et Londres 2012) et Annie Martin (2 fois olympienne en volleyball de plage). Avec 6 titres provinciaux combinés, en volleyball intérieur et en volleyball de plage, en plus de nombreuses qualifications au niveau national en volleyball de plage, l’intérêt accru de nos voisins du sud pour notre talent québécois a finalement porté fruit. Le travail acharné, la persévérance, la rigueur ont permis à Audrey et Kléa d’obtenir une bourse d’études (complète) qui leur permettra d’étudier à la prestigieuse Université Stetson (DeLand, Floride) et de s’entraîner sur les plus belles plages avec les meilleures athlètes universitaires de la planète. L’équipe des « Hatters » de Stetson fait partie de la conférence ASUN et est parmi l’une des 10 meilleures équipes de volleyball de plage aux États-Unis. Être recrutées au sein d’une équipe aussi prestigieuse est tout un exploit car les joueuses qui en font partie sont peu nombreuses et proviennent des 4 coins du monde. Pour Audrey et Kléa, les efforts qu’elles ont dû investir dans leur sport sont encore plus grands puisqu’elles doivent rivaliser contre des athlètes internationales qui s’entraînent en volleyball de plage 12 mois par année, tandis qu’au Québec, l’entraînement se fait uniquement durant l’été. « Pendant tout ce processus, j’ai grandi comme personne et comme athlète. L’évolution que nous avons connue est tout simplement remarquable à mes yeux, c’est une grande fierté! Ma bourse d’études me permettra de poursuivre mon éducation et mon développement en volleyball de plage au sein d’un programme de haut niveau, et d’atteindre une maturité mentale et physique. Cette expérience me permettra de me retrouver dans un environnement idéal pour être mieux équipée dans la vie. » - Audrey Gauthier. Lorsque Kléa a appris la nouvelle, elle était tellement heureuse qu’elle croyait rêver! « Avec nos longs hivers et aucun centre intérieur de volleyball de plage au Québec, c’est formidable qu’on puisse livrer le même niveau de performance que les autres athlètes, avec seulement 3 mois d’entraînement contrairement aux joueuses de calibre NCAA qui s’entraînent durant l’année complète. La signature de ce contrat avec la ligue NCAA représente une grande réussite dans notre carrière. Les dernières années nous ont fait prendre conscience que nous étions capables de jouer à un niveau supérieur. J’espère que cela va tracer la voie aux autres joueurs québécois. » - Kléa Sirois. Bonne chance à nos deux Québécoises (Canadiennes) qui poursuivront leur rêve! Nous sommes fiers de vous! Vous pourrez suivre Audrey et Kléa lors de leur parcours universitaire à l’université Stetson :

https://gohatters.com/sports/womens-beach-volleyball

https://www.facebook.com/stetsonbeach

https://www.instagram.com/stetsonbeachvb/?hl=fr-ca